Autrice : Lyla Mars
Editeur : Collection &H (Harper Collins)
Note /4 : ⭐️⭐️⭐️⭐️❤️
Nombre de pages : 560
Résumé
XXIIe siècle. Ne cherchez plus l’amour : à votre majorité, la Science vous indique qui est votre âme sœur. Respecter la loi… ou écouter son cœur ? 98,8 %. Eliotte peine encore à y croire, mais les résultats de son test de compatibilité sont sans appel. L’État américain vient de décréter scientifiquement qu’Izaak Meeka est son âme sœur la plus pure. Celle avec laquelle elle devra se marier et emménager dans les prochaines semaines, alors même que son cœur n’a jamais battu que pour Ashton, le petit frère d’Izaak… Elle le savait pourtant très bien : au xxiie siècle, c’est la Science qui détermine les couples autorisés à se former dans la société. N’en déplaise à son futur époux, cet être froid et solitaire, prêt à tout pour défier l’autorité en place. Quitte à entraîner Eliotte dans sa chute…
Mon avis 📝
Voilà un roman qui tourne en boucle sur Instagram alors forcément j'ai eu envie de lire ! J'ai adoré ma lecture, nous avons là un roman dystopique de qualité avec de la romance : tout ce que j'aime !
J'ai trouvé l'idée très originale, l'amour attribué par la science, des états gouvernés par des scientifiques après de nombreuses épidémies, guerres … qui ont ravagées la planète. Dans un soucis de bien-être, les scientifiques se sont accordés pour que chaque être humain soit lié dès ses 21 ans à sa "moitié", un couple crée par un algorithme attribuant les meilleures paires entre elles. C'est vraiment original et angoissant, on peut craindre le pire de nos jours!
Bref, l'intrigue est prenante, l'écriture est fluide. J'ai été prise dans ma lecture et j'ai dévoré le roman !
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Isaak, un jeune homme sombre cachant de nombreuses blessures et avec de fortes convictions. Tandis que le personnage d'Eliotte m'a moins touché, j'ai trouvé la jeune femme énervante ! Mais le côté ennemies to lovers "Isaak & Eliotte" m'a bien plu.
Bref, un coup de cœur pour cette dystopie qui a beaucoup de succès.